Lorsque nous nous penchons sur les évènements du génocide, nous remarquons que ce ne sont pas que des hommes qui participaient à la tuerie des tutsis mais, les femmes, en particulier jouaient un grand rôle d’infraction; puisque, que ce soit du coté des tutsis ou des hutus, ils participaient tous à l’hécatombe, même si le but principal des dirigeants hutus furent l’extermination absolue des groupe ethniques des tutsis. Le sort des femmes ont été infernal parce qu’elles donnent vie et puisqu’elles sont impuissantes, dans un système où le système patriarcale est le plus prononcé que les occidentaux, elles n’avaient pas d’autres moyens que d’exécuter les extravagances des hutus. Mais les deux questions qui semblent être primordial, dans la conjoncture de la femme, sont les suivantes:
1. Pourquoi, selon les dirigeants Hutus, les femmes étaient-elles une cible très importante face à l’extermination pour la génération tutsi et comment y prenaient les hutus pour contribuer de leur carnage?
2. Comment les femmes ont été perçues dans la société Rwanda. Y avait-il plus de prérogatives, chez les femmes Bahutukazi ou Umututsikazi?
L’élimination des femmes tutsies étaient le but principal des assassins Hutus. Pourquoi étaient-elles? Parce que ce sont les femmes qui donnent vie à l’homme. Alors, elles devraient être éliminé pour que ces femmes ne puissent pas, en donnant naissance à des nouveaux tutsis, de ne pas engendré une nouvelle génération et qu’elle ne devienne pas membre du Front Patriotique Rwandais (FPR). Il faut voir, qu’en 1959 à 1963, les premiers génocidaires avaient pu épargner les femmes et les enfants Tutsis et ce fut la génération des tutsis qui se sont exilés à cette époque qui ont formé le groupe FPR pour pouvoir renverser le gouvernement Hutus. Alors, les massacres qui ont été produit par les hutus furent pour ne pas laisser réapparaître cet incidence et répéter l’erreur d’épargner les femmes, la progéniture des tutsis. Lorsque nous nous penchons sur les dix commandements des Hutus, nous apercevons que les femmes tutsies étaient dénigrées et par leur façon de faire, c’était une façon pour réduire la valeur des femmes Tutsis. Pour se faire, dans le premier commandement, c’est écrit que tous Hutus qui épousent une tutsi ou qui en fait de sa concubine ou que en faisaient une tutsie sa secrétaire ou sa protégée étaient vu comme étant un traitre. Aussi, dans le second commandement déclara que les filles hutues, face à celles des tutsis étaient plus dignes et plus conscientes de leur valeur dans leur rôle de femme, d’épouse et de mère de famille et qu’elles étaient plus jolies, honnêtes et intelligente que celles des tutsis. Du coté des dirigeants tutsis, il faut voir que leur tactique pour affaiblir les hommes hutus, étaient de prendre les femmes pour des armes sexuelles parce qu’il faut voir que les femmes hutus, dès qu’elles épousaient un tutsis, lorsqu’elles enfantaient, l’enfant devenait un tutsis et c’était de même envers une femme tutsis qui épousait un hutu. Cela, pour dire que les femmes, hutus qui épousaient un homme tutsi et qui avaient des enfants, elles étaient obligées d’abattre leurs enfants et leur époux pour prouver leur loyauté aux dirigeants Hutus.
Même quand, nous pouvons voir que la femme était considérée comme étant des individus de seconde classe, il n’y avait pas une différence de droit entre les deux. Par contre, leurs droits par rapport à ceux des hommes, y avaient une forte différence. Lorsque nous nous penchons du cas d’adultère, nous remarquons que les femmes adultes écopaient une peine d’emprisonnement d’un an et tandis que les hommes, eux, avaient deux options. Soit qu’ils étaient emprisonnés pour un an et demie avec un amande ou soit qu’ils avaient des fables amandes pour leurs actes d’adultères. Mais, il faut voir que le rôle des femmes, dans la société Rwandais, fut le fait que la femme devait et droit être soumise à son marie et qu’en plus de cela, elles avaient un accès limité à la vie publique et économique du pays. Alors l’éducation de la femme se faisait par l’apprentissage du rôle de femme et d’épouse; ce qui veut dire que la femme n’avait pas un droit à l’éducation comme tel.
Les armes de guerres des dirigeants hutus, envers les femmes étaient le viol. Ils violaient et tuaient les femmes ou les isolaient pour affaiblir la force mentale des hommes tutsis et pour humilié leur famille. Et de cette façon, ils espéraient détruire leur mentalité psychologique. Toutes ces femmes violées, l’étaient par leurs voisins, collègues, ou amis hutus. Ces femmes-là qui se faisaient abusé, brisées par le remords ou par un sentiment de culpabilité s’enlevaient, ou tentaient de s’enlever la vie; parce que le viol était, pour les victimes considéré honteux, envers elles-mêmes ou envers leur familles qu’elles n’osaient pas en parler. Selon les statistiques, les filles âgées de 12 ans et plus ont été violé par les Hutus et pour la plupart des Hutus ont transmit, à ces filles, le SIDA\VIH, la syphilis et autres maladies transmit sexuellement. Toutes ces cruautés qui ont été fait envers les femmes ont eu un impact psychologique majeur.
Ce vidéo démontre, selon Annick Kayitesi, que les femmes Rwandaises étaient laissées à leur compte dans obtenir des intitutions internationales.
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