Tirste sort des Rwandais



L’objectif primordial des hutus étaient l’extermination des tutsis parce que, lorsque le gouvernement Rwandais pris naissances des complots du Front Patriotique Rwandais de vouloir renverser le régime politique du Rwanda, et vu que, lorsque les hutus étaient sous la domination tutsis, il y avait une forme de gouvernement tyrannique absolue du régime politique tutsis, pendant la période précoloniale des tutsis, envers les hutus alors, le président Habyarimana a voulu prendre des mesures nécessaire pour massacrer les Tutsis tout en poussant la population hutus à participer à cette forme de tuerie tout en leur disant que le FPR, qui se forma en Ouganda, représentait une menace pour la société et que les tutsis contribuaient à leur résistance pour leur renverser alors, il faut les abattre ainsi que les opposants hutus. Les mesures qu’a prises le président Rwandais est l’enregistrement de Rwandais selon leur groupe ethnique, la formation des jeunes militaires connu sous le nom «d’Interahamwe» pour contribuer aux massacres. Du coté du FPR, il passait à l’offensive contre les attaquants hutus tout en faisait preuve d’aucune froideur, en tuant le présidant hutu de Burundi, pour arriver à leur objectif qui est celui d’établir leur régime politique pour renverser le président Juvénal. Pourquoi les femmes et les enfants étaient les plus visés? Ils l’étaient parce qu’ils étaient les racines, la génération future de la continuité Tutsi. Même les femmes qui épousaient un tutsi et qui se procréaient, devraient tuer son bébé parce que cet enfant était reconnu comme un tutsi et non hutu. Alors, le système patriarcal était très pointu.


Le rôle de la France par rapport au génocide du Rwanda

La France à jouer un rôle primordial dans cette histoire. La France était étroitement lien avec le Rwanda. D’ailleurs, lorsque le FPR voulaient renverser le régime politique du président Juvénal, la France a pu contribuer en aidant le Rwanda a formé le FAR (la force armée Rwandaise) pour pouvoir anéantir le FPR. Non seulement que le gouvernement français violaient les droits de l’homme en fournissant des armes illégalement dans un État là où il y avait l’apartheid mais aussi, les soldats français participaient à la tuerie au lieu d’apporte des secours aux tutsis et aux opposants hutus. Alors, le gouvernement français supportait les hutus power sous la gouvernance de Juvénal parce qu’il disait que les actions causées par le FPR étaient une action contre les francophone et que le soutient de l’Ouganda face au FPR était une conspiration anglophone pour prendre le contrôle d’une partie de l’Afrique francophone en s’opposant au gouvernement Habyarimana. La France voulait empêcher toutes formes de victoires du FPR, que ce soit au niveau politique ou militaire et c’est la raison pour laquelle que la France a envoyé des soldats pour augmenter la FAR. Même si le but de la France était, selon le rapport de France face au génocide, de maintenir la paix ces actions s’avéraient être contraire à son objectif parce qu’ils ont participés aux monstruosités des militants hutus tout en allant contre les normes de droit de l’homme et tout en refusant de croire que les situations qui se dégradaient, qui se présentaient  étaient une forme de guerre civile et non un génocide.



Échec d’intervention du gouvernement États-Unis

Le rôle des États-Unis fut bref et peu glorieux face au génocide faute du souci politique intérieur et leur indifférence géopolitique. Les États-Unis venait tout juste de perdre leur intervention contre l’émeute de la Somalie avec 18 soldats américains tués qui traumatisa le gouvernement Étatsunien alors, face à leur échec, il ne saurait s’engager à une autre mission de maintient de la paix vu qu’il n’y avait, selon l’administration américaine, aucun intérêt. Même si, pour les tutsis, l’intérêt qu’ils avaient étaient la supprimassions discriminatoire des hutues envers eux. Le gouvernement américain mettait plus l’emphase sur le processus d’Arusha, la démocratie et les réformes économique mais moins sur les normes de droits de l’homme et dont, le massacre d’une réforme ethnique. À cause de leur échec, les démocrates et les républicains ont décidés de la plupart des décisions du conseil de sécurité concernant le maintient de la paix tout en forçant le secrétariat des Nations Unis de prendre des mesures plus forts et plus directs pour porter secours aux citoyens Rwandais. Concernant le MINUAR, lorsque dix (10) soldats de casques bleus belges ont été tués, la Belgique a immédiatement enlevée sa troupe au Rwanda par peur d’en perdre d’autres soldats et touts retrait de missions du MINUAR face au Rwanda, vu qu’ils étaient devenus des cibles importantes après l’assassinat du président Juvénal. Alors, puisque les troupes internationaux s’écartaient de la mission de maintient de la paix au Rwanda, Madeleine Albright a décidé de garder que 270 personnes dans la MINUAR tout en diminuant sont mandat à l’intervention et de l’aide humanitaire à Kigali. Même quand Madeleine Albright faisait pression au conseil de sécurité, l’administration Clinton refusa toutes mesures de possibilité de porter secours au Rwanda tout en excluant le terme génocide jusqu’en juin là où le gouvernement a décidé d’envoyer des véhicules blindés et après tant de polémique, le conseil de sécurité approuva la MINUAR II, après l’échec du premier, en donnant 5 500 hommes mais le génocide prit fin avant qu’un casque bleu puisse porter secours au Rwandais.




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